Quand les cerveaux deviennent un gabarit, l’absence individuelle s’institutionnalise au niveau d’une nation ; par conséquent, lorsqu'on voit de distance une superstructure, on attribue aveuglement le nom de civilisation à nous même ; on ignore complètement que l’individu s’est déjà perdu et caractérisé dans la dimension labyrinthique de son cerveau, cependant, le soi-disant civilisé ne se trouve en ce moment que dans la collectivité institutionnelle.
Quand il y a une impasse dans le monde politique, une anomie dans le monde social ; le dernier soupire d’une civilisation, qui a si longtemps souffert, ne se reflète que par des larmes et des armes.
Et tous cela pour récupérer l’individualité.